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L'impact de la viande sur les humains, les animaux et l'environnement

Situation financière et santé des éleveurs

  • En France, en 2017, 22 % des agriculteurs vivaient sous le seuil de pauvreté.
  • Près de 20 % des agriculteurs français n’ont pas pu se verser un revenu en 2017.
  • En France, 90 % des exploitations agricoles reçoivent des subventions.
  • L'endettement moyen est de 257 100 € chez les éleveurs de « volailles » et de 431 400 € pour les élevages de cochons.
  • Chez les agriculteurs, le risque de suicide est trois fois plus élevé pour les hommes et deux fois plus élevé pour les femmes que pour les autres professions.

Situation financière

Précarité

Globalement très supérieur à la moyenne nationale, le taux de pauvreté des agriculteurs est passé de 13 % en 2006 à 24 % en 2010. Entre 2015 et 2017, ils étaient 22 % à vivre sous le seuil de pauvreté1. La précarité peut toucher tout type de production, peu importe la taille, la date d’installation, l’âge de l’exploitant, la qualité de l’équipement ou encore le mode de commercialisation2. Le moindre imprévu peut faire basculer un agriculteur et sa famille dans un engrenage pernicieux duquel il est très difficile de sortir.

Par ailleurs, les agriculteurs ne profitent pas toujours des aides auxquelles ils ont droit. Parmi ceux qui pourraient prétendre au RSA, ils sont très nombreux à ne pas en bénéficier (« manque d’information ou de compréhension du dispositif », « peur d’être stigmatisé », « image négative » du RSA, « instabilité de l’éligibilité d’un trimestre à l’autre », délais pour toucher les indemnités3...) :

« Lorsque Régine m’a proposé de mettre en place un RSA, c’était pour moi une telle dégringolade que j’ai pleuré, je n’en voulais pas. » (Claude, éleveuse dans le Jura4)

En parallèle d’une très forte charge de travail, les agriculteurs doivent faire face à des revenus très irréguliers (quand ils parviennent à se dégager des revenus tout court). Ils sont en effet tributaires de la variation des cours, du climat et des crises financières et sanitaires. Des investissements trop importants peuvent également être responsables de ces absences temporaires ou régulières de revenus.

La situation financière des agriculteurs, et des éleveurs en particulier, est préoccupante :

  • Parmi les chefs d’exploitation ou d’entreprise agricole imposés au régime réel, ils étaient 20,1 % dont le revenu positif annuel ne dépassait pas 4 315 € en 20175.
  • En 2016, la moitié des exploitations agricoles affichaient un RCAI (résultat courant avant impôts, un indicateur comptable que l’on peut considérer comme le revenu moyen annuel d’un agriculteur) par actif non salarié inférieur à 14 000  euros6.
  • Parmi les non-salariés des secteurs agricoles, sylvicoles et du secteur de l’aménagement paysager, une personne sur 5 avait un revenu moyen de 560 €/mois en 2017 (les bénéficiaires du régime du micro-bénéfice agricole)7.
  • Dans la production d’ovins, caprins, équidés et autres animaux, le revenu d’activité moyen était de 620 €/mois en 20178.
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Salembier L., 2019. Les revenus d’activité des non-salariés en 2017, Insee, 7 novembre 2019.
  • Parmi les chefs d’exploitation ou d’entreprise agricole imposés au régime réel, ils étaient 19,2 % à déclarer un revenu déficitaire en 20179.
  • 18,4 % des déficits concernent la polyculture associée à de l’élevage, et 16,3 % l’élevage laitier. Ainsi, un producteur laitier sur six était déficitaire en 2017, et un sur quatre en polyculture-élevage10.
  • Lors d’une enquête effectuée dans les Côtes d’Armor, 40 % des agriculteurs interrogés ont déclaré que leur exploitation ne leur a pas toujours permis d’avoir un revenu11.

Pluriactivité

En 2017, 15,3 % des chefs d’exploitation ou d’entreprise agricole ont recours à la pluriactivité12. On note que plus le revenu agricole est faible et plus la pluriactivité est fréquente, signe qu’elle est bien souvent le fruit d’une nécessité économique et a pour but d’apporter un complément de revenus indispensable au foyer.

Cette pluriactivité peut prendre plusieurs formes : salariale ou non, tout au long de l’année ou saisonnière. La pluriactivité est toutefois moins accessible aux exploitants dont la production requiert une main d’œuvre importante, comme c’est le cas en élevage notamment13.

« Depuis un an, mon mari a dû se résoudre à la double activité et travaille à mi-temps comme chauffeur pour une coopérative céréalière voisine. 900 € qui nous donnent une bouffée d’oxygène, car on ne tire que 500 € de l’exploitation chaque mois. » (Une éleveuse du Jura14)

Dépendance aux subventions

D'après le service de la statistique et de la prospective du ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation15, en France, 89,7 % des exploitations agricoles (tous secteurs confondus) reçoivent des subventions. Cela représente 100 % des élevages de vaches (laitières et « à viande »), de moutons et de chèvres, 88,5 % des exploitations de cochons et 71,1 % des élevages de « volailles ». Le montant moyen de ces aides oscille entre 20 987 € pour un élevage de cochons et 50 507 € pour un élevage de « bovins viande » (soit 38,4 % du total de ses recettes).

À l’heure actuelle, nombreux sont les agriculteurs qui ne pourraient vivre de leur activité sans ces aides. En effet, 49 % des élevages de vaches « à viande » et 54 % des élevages de moutons et de chèvres auraient eu un résultat opérationnel négatif sans elles. Ils sont respectivement 2 % et 1 % dans ce cas, même en tenant compte des subventions.

Les résultats sont encore plus alarmants lorsqu’on se base sur le RCAI (résultat courant avant impôts). Sans subventions, 87 % des éleveurs de vaches « à viande » auraient fini dans le rouge en 2017 (avec un déficit de 24 233 € en moyenne). On est à 80 % pour les moutons et les chèvres, 41 % pour les vaches laitières, 26 % pour les volailles et 19 % pour les cochons.

Et même malgré les subventions, certains éleveurs ne parviennent pas à joindre les deux bouts et finissent tout de même l’année avec un RCAI négatif (14 % vaches « à viande », 12 % ovins et caprins, 7 % vaches laitières et cochons, 5 % volailles).

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Données issues du Service de la statistique et de la prospective, Ministère de l’Agriculture et de l'Alimentation, les résultats économiques desexploitations agricoles en 2017, 2018

L’endettement

En France, les agriculteurs sont de plus en plus endettés : de 50 000 € en 1980, ils sont passés à près de 164 000 € d’endettement moyen en 201116 et à 187 000 € en 201717, avec cependant de grandes disparités entre les exploitations.

En 201718, le montant moyen de dette était de 257 100 € chez les éleveurs de « volailles » et de 431 400 € pour les élevages de cochons, le plus élevé de tous les types de production, avec un taux d’endettement alarmant de 67 %. Les moins endettés étaient les éleveurs d’ovins-caprins avec tout de même un endettement moyen de 103 000 €.

« Je suis un esclave moderne, je ne travaille que pour rembourser mes dettes. [...] Je suis une victime de ce système productiviste, qui met sous pression les paysans, les animaux et la terre, et dans lequel nous embarquent et nous emprisonnent les banques, les coopératives... Tout le monde nous pousse à sans cesse nous agrandir, à surinvestir dans du matériel et donc à nous endetter, parce qu'ils y ont intérêt. Mais ce système du "toujours plus" nous mène droit dans le mur. Et dès que les premières difficultés surviennent, tout le monde nous lâche. [...] Le problème vient du modèle économique agricole dominant, de la logique consumériste qui domine tout, et du fait que notre travail ne nous rapporte absolument rien. C'est ça qui nous tue, pas autre chose. » (Guillaume, 48 ans, éleveur19).

On note également une hausse de l’endettement à court terme, au détriment de celui à long et moyen termes. Certains agriculteurs ont ainsi recours au crédit à la consommation dans l’espoir de sortir la tête de l’eau, mais se retrouvent à l’inverse coincés dans une spirale infernale.

« Tout va très vite, j’en ai eu jusqu’à 15 [ndlr : des crédits à la consommation], on a toujours l’espoir de s’en sortir, mais même quand la production va bien, avec des emprunts à 20 %, la dette ne fait qu’augmenter. Je me disais : “Demain ça ira mieux”, j’ai tenu tant bien que mal une dizaine d’années mais quand les huissiers arrivent… Ils sont hargneux, toujours froids, ils veulent de l’argent tout de suite. Je leur donnais un chèque à encaisser dans un mois, mais le mois d’après c’était toujours pareil ! J’ai fini par ne plus répondre au téléphone, ni ouvrir le courrier. Je fuyais la maison. Ça a duré trois ans. » (Antoine, éleveur en Auvergne20).

Santé physique et mentale

La charge de travail

Être éleveur, c’est travailler plus de 6,5 jours par semaine en moyenne21 et être toujours sur le qui-vive pour répondre aux éventuelles urgences. « Je pense que personne en dehors du métier ne peut se rendre compte de ce que signifie une demi-journée de liberté par semaine pour des éleveurs. Cette demi-journée, elle s’envole très vite. On reste tributaires d’une bête malade ou blessée à secourir, de mises bas, de suivi de cultures quand la saison arrive22… » témoigne Camille, dont le mari était éleveur de porcs.
Non seulement les semaines de travail s’allongent, mais les congés, eux, se font rares, voire inexistants : seulement 3,2 jours par an en moyenne. Les agriculteurs déclarent ne pas prendre de congés, car ils ne peuvent pas se faire remplacer sur l’exploitation (15 %), manquent de moyens (12 %), n’ont tout simplement pas envie de prendre de vacances (16,1 %) ou sont surchargés de travail (14,3 %)23.

Pénibilité du travail

D’après une enquête de Médecins du monde, 85 % des agriculteurs déclarent que leur travail est fatiguant physiquement24. Ils ont régulièrement à porter ou déplacer des charges lourdes, à effectuer des mouvements douloureux ou fatigants, à être en contact avec des produits dangereux, ou encore à rester longtemps debout ou dans d’autres postures pénibles. Ces résultats sont compilés dans l'étude Actif’Agri publiée en 2019 par le Ministère de l'agriculture25.

Accidents du travail

Les accidents ne sont pas rares. Ainsi, la MSA a répertorié 19 164 accidents du travail, 1 664 maladies professionnelles et 174 accidents de trajet en 2017, soit un total de 21 012 déclarations d’ATMP (accident du travail et maladie professionnelle) pour les non-salariés agricoles26. Les éleveurs sont particulièrement à risque : une victime sur trois exerce des activités en rapport avec les animaux27. En 2017, près de 45 % des accidents du travail ayant donné lieu à un arrêt de travail en milieu agricole sont survenus en élevage bovin28.

risques accidents travail éleveurs
MSA (Mutualité sociale agricole), 2019. Les statistiques des risques professionnels des non-salariés et des chefs d’exploitations agricoles. Données nationales 2017, 23 p. (p. 11).

Maladies professionnelles

En 2017, les maladies professionnelles représentent 7,9 % des ATMP29. L’indice de fréquence des maladies professionnelles (nombre de MP pour 1 000 exploitants) est particulièrement élevé pour les éleveurs de volailles-lapins (8,1 maladies professionnelles reconnues pour 1 000 exploitants). Cet indice est de 5,6 chez les éleveurs bovins et les producteurs laitiers, et de 5,2 chez les éleveurs de cochons30.

Les femmes sont deux fois plus touchées par les maladies professionnelles que les hommes, en particulier dans les élevage de « volailles » et de lapins, ainsi que dans les élevages de cochons où les indices de fréquence sont significativement élevés (respectivement 14,4 et 17,3 maladies pour 1 000 exploitantes, contre 4,2 et 2,9 chez les exploitants)31.

Neuf maladies professionnelles sur dix chez les exploitants agricoles sont des troubles musculo-squelettiques (TMS), le plus souvent dus à des mouvements ou à du travail répétitifs32. Près de 90 % des TMS sont des affections péri-articulaires, principalement au niveau de l’épaule, mais aussi du canal carpien et du coude. De nouveau, les éleveurs sont les plus touchés : 30 % des affections péri-articulaires concernent les producteurs laitiers, 11 % les exploitants de cultures et élevages non spécialisés et 9,5 % les éleveurs de bovins pour la viande33.

Décès

Entre 83 et 110 non-salariés agricoles sont décédés chaque année à la suite d’un ATMP (accident du travail et maladie professionnelle) entre 2013 et 201734. Là encore, les éleveurs bovins sont les plus touchés : ils représentent 46,5 % des ATMP mortels survenus entre 2015 et 201735.

Plus d’un accident mortel sur 5 survient lors de l’utilisation d’une machine, d’un tracteur ou d’un outil motorisé. D’autre part, plus de 20 % des décès comptabilisés entre 2015 et 2017 ont été reconnus comme « des suicides ayant un lien direct avec des difficultés professionnelles ou financières36 » (voir ci-après).

Parmi les autres décès : environ 15 % sont d’origine cardio-vasculaire, 8,4 % font suite à une chute de hauteur, 6,2 % impliquent des animaux et 3,6 % sont consécutifs à une asphyxie, une noyade ou une intoxication37.

Détresse psychologique

Travail intense et difficultés financières composent un cocktail toxique qui peut avoir de lourdes conséquences sur la santé psychologique des agriculteurs et provoquer un sentiment de malaise profond qui déborde le cadre du travail pour se propager à la vie personnelle et sociale.

Ainsi, une enquête de Médecins du monde menée en Auvergne révélait que près d’un agriculteur sur 3 a une qualité de vie mentale réduite et qu’ils sont 24 % à souffrir de détresse psychologique38. D’autre part, 13,6 % des non-salariés et 14,7 % des salariés agricoles présentent un état dépressif. Celui-ci est encore plus prégnant chez les femmes qui sont entre 19,1 % (non salariées) et 21,2 % (salariées) à être atteinte de dépression39.

75 % des agriculteurs déclarent que leur travail est fatiguant nerveusement, et ils sont 52 % à déclarer avoir des insomnies40.

L’enquête de Médecins du monde révèle que la paperasse serait la principale source d’anxiété chez ces agriculteurs. Mais derrière cette pression administrative, on comprend que les enjeux sont bien plus vastes : c’est l’angoisse de comprendre et de répondre à des critères d'éligibilité changeants pour obtenir une subvention qui permettrait de maintenir l’exploitation à flot, c’est la contrainte d’organiser ses journées en fonction de ça, de préparer un dossier dans l’urgence alors que le temps, dont ils sont aussi tributaires, permettrait plutôt de travailler41...

Suicides

Différentes études ont révélé une surmortalité par suicide chez les exploitants agricoles masculins par rapport au reste de la population. La MSA a ainsi recensé 605 décès par suicide (soit plus de un par jour) en 2015 chez ses assurés âgés de 15 à 64 ans ayant consommé au moins un soin ou une prestation dans l’année42. Cela représente un risque de décès par suicide trois fois plus élevé pour les hommes et deux fois plus élevé pour les femmes que pour les autres professions43. Ce risque est encore accru chez les éleveurs : en 2008, on notait un excès de mortalité par suicide de 56 % chez les producteurs laitiers, et de 127 % chez les éleveurs de vaches « à viande44 ».

Si les agriculteurs admettent rarement avoir eux-mêmes des tendances suicidaires, ils sont toutefois 47 % à déclarer connaître une personne travaillant dans l’agriculture ayant effectué une tentative de suicide45.

Avec les accidents, les suicides sont la 2e cause de décès chez les hommes, après les cancers et avant les maladies cardiovasculaires46. Il faut d’ailleurs tenir compte d’une sous-déclaration des suicides46 qui vont plutôt être présentés comme des accidents du travail. « Pour les familles endeuillées, cela permet d’éviter d’hériter de la dette s’il y a lieu, et les assurances fonctionnent48 ».

« Nous avons eu des décès dans la famille qui nous ont beaucoup bouleversés. Avec certains membres de la famille il y a eu des problèmes, nous avons eu une grosse détresse. Mettre fin à nos jours nous a traversé l’esprit plus d’une fois, heureusement que les enfants étaient là avec quelques membres de la famille pour nous aider et nous soutenir. » (Thérèse, éleveuse dans le Jura49).



1. « Pauvreté selon la catégorie socioprofessionnelle et le seuil », Insee, 10 septembre 2019.
2. Chartier L., Chevrier P., 2015. « Les agriculteurs : des précaires invisibles », Pour, n° 225, mai 2015, p. 49-59.
3. Ibid.
4. Ibid.
5. MSA (Mutualité sociale agricole), 2018. La population des non-salariés agricoles en 2017, 27 février 2018, 4 p.
6. Pflimlin E., 2018. « 10 chiffres clés sur l’agriculture française », Le Monde, 24 février 2018.
7. Salembier L., 2019. Les revenus d’activité des non-salariés en 2017, Insee, 7 novembre 2019.
8. Ibid.
9. MSA (Mutualité sociale agricole), 2018. Op. cit.
10. MSA (Mutualité sociale agricole), 2018. Op. cit.
11. Calmel M., 2012. « Les agriculteurs costarmoricains à la croisée des chemins : Enquête sur la façon dont les exploitants agricoles des Côtes d’Armor perçoivent leur profession et ses enjeux actuels. », HAL, 183 p. (p. 62).
12. MSA (Mutualité sociale agricole), 2018. Op. cit.
13. Chartier L., Chevrier P., 2015. Op. cit.
14. Ibid.
15. SSP (Service de la statistique et de la prospective, ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation), 2020. Les résultats économiques des exploitations agricoles en 2019, décembre 2020, 5 p. et
SSP (Service de la statistique et de la prospective, ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation), 2018. Les résultats économiques des exploitations agricoles en 2017, décembre 2018, 30 p. (p. 12-14)
16. Chartier L., Chevrier P., 2015. Op. cit.
17. SSP (Service de la statistique et de la prospective, ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation), 2018. Op. cit., p. 18
18. Ibid.
19. Billard S., 2019. « Guillaume, 48 ans, paysan : “Je suis un esclave moderne” », L’Obs, 4 décembre 2019.
20. Chartier L., Chevrier P., 2015. Op. cit.
21. Médecins du monde, 2015. État de santé & accès aux soins des agriculteurs des Combrailles, 16 p. (p. 7).
22. Beaurain C, Jeandey A., 2019. Tu m’as laissée en vie, éditions du Cherche Midi, Paris, 128 p.
23. Médecins du monde, 2015. Op. cit.
24. Ibid., (p. 6).
25. Ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation, Service de la Statistique et de la Prospective, Centre d’Études et de Prospective 2019. Actif ’Agri - Transformations des emplois et des activités en agriculture.
26. MSA (Mutualité sociale agricole), 2019. Les statistiques des risques professionnels des non salariés et des chefs d’exploitations agricoles. Données nationales 2017, 23 p. (p. 6).
27. Ibid., (p. 20).
28. Ibid., (p. 11).
29. Ibid., (p. 17).
30. Ibid., (p. 17).
31. Ibid., (p. 18).
32. Ibid., (p. 7).
33. Ibid., (pp. 18-19).
34. Ibid., (p. 16).
35. Ibid., (p. 6).
36. Ibid., (p. 16).
37. Ibid., (p. 16).
38. Médecins du monde, 2015. Ibid., (p. 6)
39. Santé Publique France, 2018. Prévalence de la symptomatologie dépressive et exposition aux facteurs professionnels psychosociaux chez les actifs affiliés à la Mutualité sociale agricole de cinq départements en 2010 : résultats de la phase pilote de la cohorte Coset-MSA, 9 p. (p. 1).
40. Médecins du monde, 2015. Ibid., (p. 6)
41. Médecins du monde, 2015. Ibid., (p. 7)
42. MSA (Mutualité sociale agricole), 2019. Dossier de presse : la MSA agit pour prévenir le suicide en agriculture, 10 septembre 2019, 14 p. (p. 13).
43. MSA (Mutualité sociale agricole), 2016. Plan national MSA de prévention du suicide 2016-2020, janvier 2016, 24 p. (p. 6).
44. Médecins du monde, 2015. État de santé & accès aux soins des agriculteurs des Combrailles, 16 p. (p. 3).
45. Ibid., (p. 7.)
46. Ibid., (p. 6.)
47. « Le travail de fourmi de Solidarité Paysans », Terre-net.fr, 23 février 2019.
48. Beaurain C, Jeandey A., 2019. Tu m’as laissée en vie, éditions du Cherche Midi, Paris, 128 p.
49. Chartier L., Chevrier P., 2015., Ibid.
Le Monde22 novembre 2023https://www.lemonde.fr/climat/article/2023/01/22/pour-atteindre-la-neutralite-carbone-il-faut-manger-beaucoup-moins-de-viande_6158853_1652612.html« Pour atteindre la neutralité carbone, il faut manger beaucoup moins de viande »
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