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L'impact de la viande sur les humains, les animaux et l'environnement

Recommandations des experts de l'environnement sur la réduction de la consommation de viande

Les expertises scientifiques les plus récentes préconisent une réduction drastique – allant de 50 à 90 % – de notre consommation actuelle de produits d’origine animale, dans l'objectif de lutter contre le réchauffement climatique. Sont listés sur cette page les rapports et articles scientifiques de référence sur le sujet.

1. Groupement international d’expertise sur le climat (GIEC), 2018. Global Warming of 1.5°C, Rapport spécial commandité à l’occasion de la COP21.

« Depuis 30 ans, le GIEC évalue l’état des connaissances sur l’évolution du climat, ses causes, ses impacts. Il identifie également les possibilités de limiter l’ampleur du réchauffement et la gravité [de ses conséquences]. Les rapports du GIEC fournissent un état des lieux régulier des connaissances les plus avancées [; ils sont] au cœur des négociations internationales sur le climat. »

  • Les experts du GIEC s’accordent pour dire que les produits d’origine animale sont responsables de plus d’émissions de gaz à effet de serre que n’importe quelle autre source de nourriture (14,5 % des émissions de GES d’origine anthropique).

  • Les bovins (viande, lait) émettent à eux seuls ⅔ des gaz à effet de serre produits par l’élevage, du fait du méthane généré lors de leur digestion.

  • Limiter la consommation moyenne de viande de ruminants (bovins, ovins, caprins) à 10 g par jour et la consommation des autres viandes, du poisson et des œufs à 80 g par jour permettrait de réduire de 36 % les émissions de GES d’origine agricole, et de plus de 8,5 % les émissions totales de GES.

  • Selon les experts du GIEC, les protéines végétales et la viande de culture ont le potentiel nécessaire pour remplacer la viande, tout en ayant une empreinte carbone nettement inférieure.

  • Pour limiter la hausse de la température mondiale à 1,5 °C, le GIEC propose parmi les solutions envisageables « un changement important de mode de vie incluant l’adoption d’un régime nettement moins gourmand en produits d’origine animale. »


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2. GIEC, 2019. Climate Change and Land.

En 2019, dans un rapport spécialement dédié à l’utilisation des terres agricoles et à l’alimentation, le GIEC a comparé les réductions d’émissions de gaz à effet de serre que pourrait permettre l’adoption de différents régimes alimentaires. L’alimentation vegan (à 100 % d’origine végétale) est celle qui permettrait de réduire le plus massivement les émissions de GES liées à l’alimentation. Arrivent ensuite le régime végétarien (viande ou poisson seulement une fois par mois selon les critères retenus pour cette étude), et le régime flexitarien (réduction des produits d’origine animale).

GIEC-2019-reduction-viande

GIEC, 2019, ch. 5, p. 77., Fig. 5.12.


→ Consulter le rapport

3. Springman et al., 2018. « Options for keeping the food system within environmental limits », Nature.

Cette étude, publiée par des chercheurs de l’Université d’Oxford dans la prestigieuse revue scientifique Nature, préconise une réduction de 90 % de la consommation de viande et de 60 % de la consommation de lait et d’œufs d’ici 2050 dans les pays développés, afin de limiter à 1,5 °C la hausse de la température mondiale, respectant ainsi l’objectif fixé par le GIEC.


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4. Poore & Nemecek, 2018. « Reducing food’s environmental impacts through producers and consumers », Science.

Cette solide étude de prospective, publiée dans la revue scientifique Science, s’appuie sur les données de 38 700 exploitations agricoles dans 119 pays. Selon cette étude :

  • L’élevage est, à l’heure actuelle, responsable de plus de 15 % des émissions de GES anthropiques (21 % quand on inclut la déforestation), de 25 % de l’acidification des sols et de 74 % de l’eutrophisation des espaces aquatiques.

  • Le scénario 1, dans lequel les aliments d’origine animale seraient entièrement remplacés par des équivalents végétaux, conduirait notamment :

    • à réduire de 76 % les surfaces nécessaires à la production alimentaire (la surface gagnée équivaudrait à la somme des USA, de la Chine, de l’Australie et de l’Union européenne !) ;

    • à réduire de 49 % les émissions de gaz à effet de serre dues à la production alimentaire.

  • Le scénario 2, dans lequel les aliments d’origine animale seraient remplacés à 50 % par des équivalents végétaux, conduirait à obtenir bien plus de la moitié des réductions d’impact permises par le premier scénario :

    • 67 % de la réduction de surface du premier scénario (donc 51 % du total d’origine) ;

    • 73 % de la réduction des émissions de GES du premier scénario (donc 36 % du total).

Bénéfices de la réduction de viande


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5. Grain, IATP (Institut des politiques agricoles et commerciales), 2018. Émissions impossibles : comment les grandes entreprises du secteur de la viande et des produits laitiers réchauffent la planète.

Grain est une ONG internationale qui soutient les paysans et les mouvements sociaux dans leur lutte pour des systèmes alimentaires contrôlés par les communautés et respectueux de la biodiversité.

L'Institut des politiques agricoles et commerciales est un organisme à but non lucratif qui, via des travaux de recherche, envisage des systèmes agricoles, commerciaux et alimentaires bénéfiques pour la population, les agriculteurs et les travailleurs du système alimentaire, les écosystèmes et la justice sociale à l'échelle mondiale.

Les deux ONG se sont penchées sur l’impact des plus grosses entreprises du secteur de la viande et des produits laitiers sur le climat :

  • Actuellement, l’ensemble des 20 plus grosses entreprises de ces secteurs émet plus de gaz à effet de serre que des pays entiers de l’OCDE comme l’Allemagne, le Canada, l’Australie, le Royaume-Uni ou la France.

  • L’ensemble des 5 plus grosses de ces entreprises émet quant à lui davantage de gaz à effet de serre que des grands groupes pétroliers comme Exxon, BP ou Shell.

  • Selon cette enquête indépendante, seules 2 des 35 plus grandes entreprises du secteur de la viande et des produits laitiers font des estimations sérieuses et complètes de leurs émissions de gaz à effet de serre. La plupart ne les déclarent pas ou les sous-déclarent.


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6. Changing Markets Foundation, 2018. Growing the Good: The Case for Low-Carbon Transition in the Food Sector.

La Changing Markets Foundation est une fondation internationale basée à Bruxelles. Son but est d’orienter le marché économique vers des solutions bénéfiques pour l’environnement et la société. Elle est membre du European Foundation Centre (EFC) et du Bureau européen environnemental (EEB).

La fondation a compilé les données les plus récentes sur les impacts de la consommation de viande et des autres produits d’origine animale sur l’environnement et le climat.

Elle conclut que réduire de 50 % la consommation de produits issus de l’élevage au sein de l’Union européenne contribuerait grandement à la lutte contre le réchauffement climatique (40 % d’émissions agricoles d’azote réactif en moins et 23 % de superficies cultivées en moins), et permettrait dans le même temps de s’aligner sur les recommandations nutritionnelles de l’OMS.


→ Consulter le rapport

7. Searchinger et al., 2018. « Assessing the efficiency of changes in land use for mitigating climate change », Nature.
Hayek et al., 2020. « The carbon opportunity cost of animal-sourced food production on land », Nature Sustainability.

Ces deux études de chercheurs d’Harvard et de Princeton se penchent sur les changements d’affectation des sols (déforestation, reforestation, cultures, etc.) et elles développent comme indicateur le « coût de renoncement carbone » (CRC, ou COC pour carbon opportunity cost en anglais), c’est-à-dire l’occasion manquée de stocker du carbone, ce que feraient les sols s’ils n’étaient pas cultivés.

La première étude compare cinq systèmes de production bovine brésiliens et montre que la reforestation ou le remplacement par des productions végétales présentent des bénéfices jusqu’à cinq fois supérieurs au potentiel de stockage des systèmes les moins intensifs.

cout-renoncement-carbone-alimentation

Une alimentation végane a le coût de renoncement carbone le plus faible : c’est celle qui a le plus de potentiel pour stocker le carbone dans les sols et dans la végétation. Par ailleurs, les bénéfices pour le climat d'une baisse de consommation de produits animaux dans les pays développés seraient largement supérieurs à ceux d'un maintien de la consommation des pays en développement.

La seconde étude démontre que faire évoluer la production alimentaire vers des alimentations à prédominance végétale pourrait permettre de stocker de 332 à 547 GtCO2, c’est à dire de 99 à 163 % du budget d’émission de CO2 estimé pour limiter le réchauffement global à 1,5 °C.

stockage-carbone-alimentation

Évolutions cumulées du stockage de carbone selon trois scénarios alimentaires : l'alimentation actuelle (BAU, pour business as usual), l’alimentation de référence EAT-Lancet (ELC) et une alimentation végane généralisée (VGN).
Un indicateur positif signifie une perte de carbone et donc des émissions dans l’atmosphère tandis qu’un indicateur négatif rend compte de la séquestration du CO2 grâce à la croissance de la végétation. Les barres d’incertitudes rendent compte des variations locales quant à la capacité des terres à stocker du stockage.

→ Consulter l'article de Searchinger et al.
→ Consulter l'article de Hayek et al.

8. IDDRI (Institut du développement durable et des relations internationales), 2018. Une Europe agroécologique en 2050.
CNRS, 2021. Scénario agro-écologique pour l’Europe en 2050.

Le système alimentaire européen, depuis la production jusqu’à la consommation, est parfois perçu comme très performant, mais ses conséquences sociales et environnementales se font de plus en plus nettes. Il n’est tout simplement pas durable, et il est même déséquilibré : il n’est pas en adéquation avec les recommandations nutritionnelles. Ainsi, un européen consomme en moyenne 60 % de viande, oeufs, produits laitiers de plus que les recommandations nutritionnelles de l’EFSA ou de l’OMS.

Dans ce contexte, plusieurs scénarios plaident pour l’agroécologie comme ceux de l’Institut du développement durable et des relations internationales (IDDRI) et du CNRS. Parmi leurs points communs : une réduction de la production de viande de -40 % à -50 % s’avère être une nécessité.

L’IDDRI a élaboré le scénario TYFA « Dix ans pour l’agroécologie » qui s’appuie sur la généralisation de l’agroécologie, l’abandon des importations de protéines végétales et l’adoption de régimes alimentaires plus sains à l’horizon 2050. Le redéploiement de prairies extensives et d’infrastructures paysagères font également partie des mesures. Côté consommation : une réduction significative des protéines animales (viande, poisson et produits laitiers) d’un côté et une forte croissance des fruits et légumes de l’autre.

IDDRI TYFA 2050

Le CNRS a utilisé une approche différente de l’IDDRI. En analysant les flux d’azote, les chercheurs ont pu démontrer que l’Europe pourrait être autosuffisante à condition, à nouveau, de diminuer sa production de produits animaux de moitié et de passer à des apports en protéines d'origine animale pour 30 % et d'origine végétale pour 70 %, au lieu de 70 % animal et 30 % végétal comme c’est le cas actuellement en Europe, soit une alimentation bien plus végétale qu’elle ne l’est aujourd’hui.

CNRS Agroécologie 2050

La consommation de viande en France a tendance à stagner depuis plusieurs décennies alors qu’il faudrait que la production et la consommation chutent radicalement ces 30 %prochaines années pour que ces scénarios puissent se réaliser.

Quel que soit le scénario choisi, le ministère de l’Agriculture a récemment reconnu que la réduction du nombre d’animaux dans les élevages (donc la diminution de la production de viande) participerait, de fait, à l’atteinte des objectifs de réduction des gaz à effet de serre.

Lire l’étude de l’IDDRI
Lire le dossier Réussir la transition agroécologique
Lire l’étude du CNRS
Lire le communiqué de presse du CNRS

9. Chaire UNESCO Alimentations du monde, 2021. Une écologie de l’alimentation, p.244/301

Dans son ouvrage anniversaire, la Chaire UNESCO Alimentation du monde a rappelé qu’adopter un régime alimentaire que l’on peut qualifier de « frugal » permet de diviser par plus de deux l’empreinte carbone de l’alimentation, autrement dit de la réduire d’environ 1,2 tonne CO2e/pers/an, soit 15 % de la réduction de l’empreinte nécessaire pour rester sous un réchauffement maximal de 2 °C.

Le régime frugal propose de diviser par quatre le nombre de repas avec viande rouge et de diviser par deux le nombre de repas avec viande blanche, tout en doublant la fréquence des repas végétariens.

recommandations chaire-unesco-ecologie-alimentation

Il s’agit d’une des mesures au plus haut potentiel d’efficacité et elle est même supérieure au potentiel lié à la réduction du transport en voiture de 10 000 km à 2 000 km par an qui est d’environ 1,1 tonne CO2e/pers/an.

Consulter l'ouvrage

10. Solagro, 2021. Quels systèmes alimentaires durables demain ? Analyse de 16 scénarios du « secteur des terres » compatibles avec l’objectif de neutralité climatique

La réduction des protéines animales et de l’élevage est très étudiée dans les scénarios prospectifs pour atteindre la neutralité climatique en agriculture

L’étude de Solagro porte sur seize scénarios élaborés entre 2014 et 2020. Les auteurs se sont interrogés sur les points communs de ces analyses qui se sont multipliées ces dernières années. Ils notent que 13 des 16 des scénarios tablent sur une diminution des protéines animales et de l’élevage, mais avec des nuances entre eux, portant notamment sur les liens entre baisses de production et de consommation de viande.

Les auteurs en concluent que la réduction des protéines animales et de l’élevage constitue « une voie très claire » pour aller vers la neutralité climatique. D’autant plus que les études qui n’y font pas référence reposent sur des hypothèses de rendements peu vraisemblables.

Consulter l'étude

11. ADEME, 2022. « Transition(s) 2050 » : quels choix alimentaires pour atteindre les objectifs de neutralité carbone ?.

À l’occasion du Salon international de l’agriculture 2022, l’ADEME est revenue sur ses travaux prospectifs « Transition(s) 2050 » qui présentent 4 scénarios et niveaux de contribution des systèmes agricoles et alimentaires pour l’atteinte des objectifs de neutralité carbone de la France en 2050. L’évolution des régimes alimentaires, du secteur agricole et agro-alimentaire constituent des pistes majeures pour la transition écologique du pays.

Pour calculer l'empreinte de l'alimentation des Français, les impacts et les surfaces nécessaires pour la production d'engrais et l'alimentation humaine et animale ont été pris en compte à la fois en France et à l'étranger.

Parmi les principaux leviers mis en avant par l’ADEME pour réduire l’impact environnemental de l’alimentation, on retrouve le suivant : « Ajuster les quantités consommées aux besoins nutritionnels de chacun, et réduire la consommation de produits carnés, au profit de sources de protéines alternatives. Ce levier est également majeur pour améliorer la santé publique. »

Chacun des scénarios intègre la réduction de la consommation des produits carnés : de -67 % et -50 % (scénarios 1 et 2) à -30 % et -10 % (scénarios 3 et 4).

Dans les scénarios 1 et 2, une partie des terres libérées par la réduction des cheptels est transformée en forêts, ce qui permet un stockage additionnel du carbone dans la biomasse.
De manière plus générale, le monde du vivant, s’il est préservé (scénarios 1 et 2), permet des puits de carbone naturels au moins deux fois supérieurs au scénario 4.

Lire le résumé exécutif (12 p.)
Lire le rapport complet (683 p.)

ADEME Transition 2050

12. Duru, M et Therond, O. , 2022. Élevage, protéines animales et protéines végétales : ce qu’il faut savoir pour y voir plus clair.

Cet article de personnels de l'INRAe fait le tour des enjeux de la végétalisation de l'alimentation.

Des produits animaux plus impactants
Il est clairement établi que les produits animaux ont un impact sur les ressources (énergie, surface, eau) et sur l’environnement (émissions de gaz à effet de serre, pollutions azotées) bien supérieur à celui des produits végétaux, céréales et surtout légumineuses.

Les enjeux en matière de santé
En matière de santé, notre consommation moyenne de protéines excède les recommandations d’environ 30 % et les besoins de 50 %. Un régime plus végétalisé est meilleur pour la santé, et jusqu’à 50 % de protéines végétales dans notre assiette, les apports en acides aminés sont équilibrés. À partir de 70 %, l’équilibre entre acides aminés n’est pas satisfaisant, mais cela peut être corrigé en associant des légumineuses à des céréales à l’échelle du repas.

Un régime alimentaire plus végétalisé que la moyenne est donc plus bénéfique pour la santé et l’environnement. En France, il a été montré que le 1/5e de la population française qui suit les recommandations alimentaires pour les protéines animales (0,55g par kg de poids corporel par jour) émet 2 fois moins de gaz à effet de serre et nécessite 2 fois moins de surface agricole que le 1/5e qui en consomme le double.


→ Consulter l'article

13. The Shift Project , 2022. Climat, Crises: comment transformer nos territoires

L'équipe "Stratégies de résilience des territoires" du Shift Project a rendu public six cahiers qui portent sur les spécificités des différents territoires en matière de résilience climatique : Villes, Campagnes, Métropoles, Montagnes, Littoraux et Outre-mer.

Dans les villes, « la nécessaire baisse de notre consommation de viande, pour des raisons écologiques et de santé publique, exige de réorganiser le système alimentaire autour des alternatives. » Parmi les leviers d'action : « dans la restauration collective gérée par la collectivité : servir deux repas végétariens par semaine, toujours proposer une alternative végétarienne. »

Dans les campagnes, le Shift Project estime que l'élevage demeurera. Cependant, compte tenu de son poids dans les émissions de GES et dans les surfaces cultivées, la production de viande devra diminuer d’un facteur 3. Il s’agit aussi d’un enjeu de sécurité nationale. Les crises climatiques et énergétiques vont se multiplier, la productivité agricole poursuivra sa stagnation, si elle ne décroît pas.

La végétalisation de l'alimentation présente aussi des atours pour les territoires d'Outre-mer : l’adoption d’un régime moins carné constitue le plus sûr moyen d’améliorer l’autonomie alimentaire. La viande représentant à elle seule 72 % de l’empreinte surfacique de l’alimentation d’un Français moyen, sa diminution dans l’alimentation réduit drastiquement l’espace nécessaire à la couverture des besoin locaux


→ Consulter le rapport

Lire aussi :

Effet de serre et déforestation.

Les émissions de GES dans le monde.

Les émissions de GES en France.

Gaspillage et pollution de l'eau

Le Monde22 novembre 2023https://www.lemonde.fr/climat/article/2023/01/22/pour-atteindre-la-neutralite-carbone-il-faut-manger-beaucoup-moins-de-viande_6158853_1652612.html« Pour atteindre la neutralité carbone, il faut manger beaucoup moins de viande »
Le Parisien27 avril 2022https://www.leparisien.fr/societe/grippe-aviaire-une-nouvelle-video-de-lassociation-l214-denonce-lenfouissement-massif-doiseaux-en-vendee-27-04-2022-6LY637HCF5B6PCIDUGYVKAMJLU.phpGrippe aviaire : une nouvelle vidéo de l’association L214 dénonce l’enfouissement massif d’oiseaux en Vendée
Sud-Ouest27 avril 2022https://www.sudouest.fr/societe/animaux/video-grippe-aviaire-l214-denonce-l-enfouissement-de-milliers-de-cadavres-de-volailles-en-vendee-10740793.phpGrippe aviaire : L214 dénonce l’enfouissement de milliers de cadavres de volailles en Vendée
Radio-Canada09 avril 2022https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1875172/analyse-giec-solutions-gouvernement-guilbeault-mesures?GIEC : les solutions sont là, qu’est-ce qu’on attend?
France 3 Pays de la Loire05 avril 2022https://france3-regions.francetvinfo.fr/pays-de-la-loire/vendee/grippe-aviaire-l214-diffuse-des-images-de-gazage-de-poulets-dans-un-elevage-intensif-de-vendee-2518248.htmlGrippe aviaire : L214 diffuse des images de gazage de poulets dans un élevage intensif de Vendée

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